Dans une refonte majeure du processus de vérification de Twitter, le nouveau patron de Twitter, Elon Musk, envisage de facturer 20 $ par mois à ceux qui souhaitent conserver leur badge vérifié, selon The Verge. La vérification Twitter, à l’avenir, pourrait faire partie des offres d’abonnement Blue de la société. Lors de son lancement, les utilisateurs vérifiés devront s’inscrire au service dans les 90 jours, sinon ils perdront leur badge vérifié.
Selon des sources, les employés de Twitter ont eu jusqu’au 7 novembre pour mettre en œuvre la fonctionnalité sur Twitter ; ne pas le faire entraînera des licenciements massifs. Elon Musk n’a pas annoncé publiquement le changement, mais il a tweeté hier que”l’ensemble du processus de vérification est en cours de refonte en ce moment”. Cela pourrait également signifier des exigences supplémentaires autres qu’un abonnement Blue de 20 $ par mois.
Twitter a lancé son abonnement Blue l’année dernière pour augmenter ses revenus, mais l’entreprise tire toujours une grande partie de ses revenus de la publicité. Au lancement, l’abonnement était au prix de 3 $ par mois, mais le site de microblogging a récemment augmenté le prix à 5 $ par mois. L’abonnement payant est actuellement limité aux États-Unis, au Canada, à la Nouvelle-Zélande et à l’Australie. Cependant, lorsque le nouveau processus de vérification sera lancé, les utilisateurs du monde entier devraient pouvoir acheter l’abonnement. En effet, le processus de vérification n’est pas limité à quelques pays sélectionnés.
De nombreux identifiants vérifiés sur Twitter disent qu’ils renonceraient volontiers au badge vérifié lorsque les changements se produiraient, car ils ne sont pas disposés à payer 20 $ par mois pour ça. Les utilisateurs sont actuellement divisés sur la question de savoir si cela atténuera le problème des problèmes de bot sur la plate-forme, ce qu’Elon Musk déteste le plus et a conduit Musk à presque renoncer à l’accord.
Qu’en pensez-vous Le nouveau processus de vérification de Twitter ? Pensez-vous que cela aidera la plateforme à lutter contre la désinformation ou à l’aggraver ? Faites-nous part de vos réflexions dans la section des commentaires.