jusqu’au siège de l’Union européenne à Bruxelles pour exprimer ses inquiétudes concernant l’accord avec Microsoft Activision. L’acquisition, qui a déjà reçu le feu vert d’un pays et devrait passer aux États-Unis (bien qu’avec un peu d’examen minutieux de la part de la présidente de la FTC, Lina Khan), semble faire face à un barrage routier de l’autre côté de l’étang alors que les autorités européennes expriment leurs réserves sur la consolidation.

Call of Duty au centre du débat sur l’acquisition de Microsoft Activision

Selon un rapport payant de Dealreporter (via Video Game Chronicle), Ryan a décidé de se rendre personnellement au siège de l’UE le 8 septembre pour exprimer ses réserves sur l’acquisition. Mis à part la consolidation, c’est Call of Duty qui est devenu l’un des principaux points de discorde dans l’accord Microsoft Activision. Sony craint que Microsoft retire le mastodonte de ses plates-formes à l’avenir, le rendant exclusif à son propre écosystème. Microsoft dit qu’il n’a pas l’intention de retirer Call of Duty d’autres plates-formes. Cependant, la société a été délibérément vague sur ses plans futurs, n’offrant à Sony aucune garantie après les deux prochaines années.

Microsoft conteste actuellement son cas dans l’UE et au Brésil.

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