Le gouvernement kenyan envisagerait de nouveaux mesures fiscales affectant les transactions de crypto-monnaie, en ligne et les transferts de jetons non fongibles (NFT).

Selon les rapports, le gouvernement recherche de nouvelles sources de revenus pour aider financer son budget et envisage de taxer ces industries.

Le Kenya promulgue un projet de loi sur les taxes sur les cryptos

Les législateurs du pays visent à imposer une taxe sur les gains en capital sur les bénéfices tirés du commerce des crypto-monnaies. En tant que tels, ils placeront une taxe de 3 % sur les actifs numériques. Cette décision tente de réglementer le secteur et de garantir que les commerçants de crypto-monnaie contribuent aux recettes fiscales du pays.

Les législateurs envisagent également d’imposer une taxe sur le transfert des NFT. Ces actifs numériques représentent la propriété d’œuvres d’art, de musique et de vidéos uniques. Selon eux, les transferts NFT bénéficieront d’un taux de pourcentage d’imposition similaire de 3 %.

De plus, les législateurs ont noté dans le projet de loi qu’ils imposeront une taxe de 15 % sur les influenceurs en ligne, qui sont devenus une force puissante. dans le secteur de la publicité. La taxe proposée serait prélevée sur les revenus générés par les influenceurs via diverses plateformes de médias sociaux.

En outre, certains des produits et services inclus dans le projet de loi sont le marketing d’affiliation, les parrainages, les abonnements payants et les marchandises.

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Dans le entre-temps, le gouvernement n’a pas encore adopté le projet de loi. Il devra notamment passer par différentes sessions d’évaluation, dont cinq lectures, rapports et commissions, par l’Assemblée nationale. Enfin, il finira par passer à la table du président pour une évaluation finale et un examen avant qu’il ne devienne loi.

Néanmoins, la décision du gouvernement kenyan d’imposer de nouvelles mesures fiscales à ces industries a attiré plusieurs réactions en ligne.

Les particuliers abordent le mouvement du nouveau projet de loi

Il y a eu plusieurs réflexions concernant la décision du législateur de créer de nouvelles mesures fiscales englobant les industries des actifs virtuels.

Kenya Markets and Research Analyst Rufas Kamau abordé le déménagement dans un tweet le 4 mai, notant que la taxe de 3 % sur les actifs numériques était une blague. Il a demandé si cela s’appliquait ou non aux points de fidélité des cartes de crédit et des supermarchés.

Dans un autre tweet, le groupe de défense des actifs numériques du Kenya, Cryptocurrency Kenya, a déclaré que la taxe numérique doit inclure tout ce qui est numérique. Il a également noté que l’appliquer uniquement à la cryptographie est un harcèlement ciblé.

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Le groupe a également cité le différence entre le taux d’imposition et les frais facturés par les échanges cryptographiques sur les transactions. Il a utilisé les frais de Binance de 0,10 % et 0,50 % comme scénario, notant que le taux d’imposition de 3 % est plus élevé.

La Banque centrale du Kenya a précédemment a mis en garde sur l’utilisation de devises numériques. Cependant, il n’a jamais mis en place d’interdictions. Néanmoins, les utilisateurs de crypto et les investisseurs reconnaissent toujours les risques du trading d’actifs numériques et font preuve de prudence à tout moment.

Image en vedette de Pixabay et graphique de Tradingview

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